Osaka et Himeji
1. Osaka
Soyons clair : Osaka constitue rarement un but de visite en soi. On s’y arrête par exemple parce qu’on a un avion à prendre au KIX (Kansai International Airport). Et encore, Kyoto, toute proche, est généralement préférée pour faire étape.
Pourtant, la ville est sympathique à découvrir. L’aquarium vaut le détour pour son énorme bassin où évolue un requin-baleine et des raies mentas. Le château, bien que reconstruit en béton sur le modèle original, présente un certain charme (surtout la nuit, illuminé) et une jolie vue sur la ville.
Tout comme à Kyoto, il n'est pas rare de croiser des femmes en kimono traditionnel qui déambulent dans les rues. A Osaka, nous avons été impressionnés par les autoroutes sur des ponts suspendus qui s’entrecroisent sur plusieurs niveaux au-dessus des routes et trottoirs piétons. On se croirait en plein film futuriste.
Tout comme Tokyo, Osaka possède son quartier d’animation nocturne, Dotombori, illuminé de néons, qui font néanmoins plus kitsch que high-tech.
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Enfin, il faut absolument goûter à la spécialité d’Osaka : l’okonomi-yaki, une sorte de crêpe fourrée salée, badigeonnée d’une sauce brune légèrement sucrée que le cuisinier prépare devant vous sur des tables chauffantes.
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2. Himeji
Himeji se visite à la journée depuis Osaka ou Kyoto. On y vient pour son fabuleux château féodal, qui a survécu sous sa forme originelle en bois. Surnommé « le héron blanc » du fait de ses murs blancs, il fut le fief de plusieurs seigneurs de guerre dont on retrouve les différents blasons sur les tuiles du toit.
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Le parcours des 9 jardins du quartier
général des samouraïs du château, Koko-en, constitue une promenade très agréable.
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