De Moscou à Pékin
par le Transsibérien et le Transmongolien


"Et alors, c'était comment ce voyage ?" m'a-t-on souvent demandé à notre retour en octobre 2008. Un silence, au cours duquel des myriades d'images se pressent dans mon esprit.
Les bulbes étincellants des églises de Moscou. Les couleurs d'automne qui parent les bouleaux des plaines sibériennes. Les soirées Vodka avec Serguei, Sacha, Anieta et les autres, dans les compartiments du Transsibérien. Les eaux sombres du lac Baïkal, pourvoyeurs de délicieux poissons mitonnés pour nous par Olga. Le souffle du vent sur les plaines de Mongolie. Le rire d'Erkegul devant nos efforts pour venir à bout d'un morceau de fromage sec mongol. La chaleur de la yourte. La ferveur des moines mendiants prosternés de tout leur long devant les temples de la cité bouddhique de Wutaishan. La foule chinoise qui nous étreint dans les allées de la Cité Interdite comme un dragon de chair. Et cet autre dragon, de pierre cette fois-ci : la Grande Muraille qui serpente magnifiquement sur des monts escarpés.

Je réponds platement : "Super."

Comment résumer, en effet, l'extraordinaire parcours rendu possible par le Transsibérien et le Transmongolien ? D'un seul élan, ces lignes de train mythiques nous emmènent d'Europe en Asie. Parce qu'une traversée n'est pas une suite de voyages, le train nous permet de mesurer la distance parcourue et d'apprécier la diversité du monde.


Pour ceux qui veulent en savoir plus... notre voyage, de Moscou à Pékin, débute en Russie par la visite de Moscou.



Rendez-vous à la page Carnet pratique quelques conseils sur la destination.

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